– L’île aux Cygnes
– Jardin du Luxembourg
– Musée d’Orsay
– Art et métiers
– La statue de la Liberté, la reine Sémiramis, reine de la Grande Babylone ?
La célèbre Statue de la Liberté (« Liberty Enlightening the World ») fut offerte par la France aux États-Unis, en signe d’amitié entre les deux pays, et en commémoration du centenaire de la déclaration d’Indépendance Américaine (4 juillet 1776). L’œuvre, réalisée par Frédéric Auguste Bartholdi (1834-1904) , le soutient de Viollet Le Duc et Gustave Eiffel pour la conception de la structure métallique, est inaugurée le 28 octobre 1886 sur Bedoe’s Island, près de New York.
Mais si le ville de New York possède La Grande statue … Paris en expose plusieurs, à différents endroits de la capitale :
Pour construire la Statue de 46 mètres, on a utilisé un modèle, à l’échelle 1/16eme, exposé au musée du CNAM (292, rue St Martin).
On trouve une autre statue de la Liberté, offerte par Bartholdi, situés au jardin du Luxembourg, qui est en fait une copie de la statue originale qui se trouve depuis juillet 2012 au musée d’Orsay.
On peut voir également deux statues de la Liberté au musée des Art et métiers : une premiere à l’extérieur, et une autre à l’intérieur.
L’Ile aux Cygnes
Pont de Grenelle, tournée vers son pays donateur, les États Unis.
Voir carte
Pour célébrer le centenaire de la Révolution Française, les Etats Unis offre en 1889, la statue du pont de Grenelle. Située face à « La maison de la radio », sur l’Ile aux Cygnes, tournée vers son pays donateur. C’est la réplique exacte de l’oeuvre de Bartholdi, à l’échelle 1/4.
Jardin du Luxembourg
Statue de la Liberté – Paris
« La liberté éclairant le monde » – jardin du Luxembourg – Auguste BARTHOLDI.
Modèle en bronze de 2,87 m de hauteur, utilisé pour la réalisation de la statue de la liberté de New York.
Cette statue originale a été déplacée, et se trouve depuis juillet 2012 dans la nef du musée d’Orsay.
Une copie à remplacé ce modèle depuis l’année 2013.
Musée d’Orsay

Modèle en bronze de 2,87 m de hauteur, utilisé pour la réalisation de la statue de la liberté de New York.
Elle était située dans le jardin du Luxembourg de 1906 à 2012 mais se trouve depuis juillet 2012 dans la nef du musée d’Orsay.
Enfin, sur le pont d’Alma, se trouve la reproduction de la flamme (symbole de la connaissance) de la statue Américaine. On la confond souvent avec un mémorial de la princesse Diana. Elle fut en faite offerte par « L’International Herald Tribune » en 1987, pour fêter le centenaire du journal.
Flamme De La Liberté – Pont l’Alma à Paris
Voir carte
Art et métiers
Deux statues de la Liberté au musée des Art et métiers : une première à l’extérieur, et une autre à l’intérieur
Statue de la Liberté – Paris – Musée Des Arts et Métiers
La statue conservée au Musée des arts et métiers, à l’échelle 1/16, léguée après le décès du sculpteur Bartholdi par sa veuve, a très vraisemblablement été exécuté par Bartholdi lui-même en 1875.
On retrouve également les maquettes et les documents de Bartholdi dans le musée des Arts et Métiers.

Statue de la Liberté a l’entrée des Arts et Métiers – Paris – Inaugurée le 9 juin 2011
Le Musée des arts et métiers a installé une reproduction en bronze du modèle original, en partenariat avec la société Duhamel Fine art.
La construction de la Statue de la Liberté de New York débute à Paris, dans le 17 eme arrondissement, en 1875 dans les ateliers Monduit et Bechet, successeurs Gaget, Gauthier et Compagnie.

Statue de la Liberté – Paris – 1884
Cette image avait été publiée en première page du journal « The Scientific American » le 10 mai 1884.
On peut voir ici à travers les bâtiments et rues parisiennes, posée sur le terrain de la société « Gaget et Gauthier », rue de Chazelles, Paris, la statue avant son transport vers les États Unis. Elle a été coupée en 350 pièces avant de prendre son chemin vers l’Amérique par bateau.
La statue de la Liberté représenterait la reine Sémiramis, reine de la Grande Babylone ?
Certains prétendent que la Statue de la Liberté, dessinée par Bartholdi, représenterait en faite la reine Sémiramis, (ou Sammu-ramat signifiant « paradis extrême »), l’épouse de Nimrod, la reine de Babylone, et fondatrice de la grande cité.

On peut observer quelques similitudes entre la femme du logo de Columbia Pictures et la statue de Bartholdi, tout en signalant tout de même que la représentation de Columbia Pictures représente « Columbia », la personnification féminine des États-Unis, tel que son homologue masculin, ongle Sam.
Nimrod fut le constructeur de la Tour de Babel et aurait été le premier homme à avoir voulu établir un Gouvernement Mondial avec une Religion Universelle en opposition à Dieu.
Dans l’oeuvre « History of Freemasonry », publié par la « Masonic History Company », il est écrit que Nimrod a été honoré comme « Grand Maçon » et que sa tentative pour construire un « Nouvel Ordre Mondial » lui à valu la distinction de « Premier Grand Maitre ».
Cette hypothèse de la déesse Sémiramis est portée par l’appartenance du sculpteur français, Frédéric Auguste Bartholdi, à la Grande Loge Franc-Maçonnique.
Ajoutons que la couronne de la statue possède sept pointes, qui représenteraient les sept continents, dont Nemrod, roi de Babylone, éclairé par l’enseignement des anges déchus, aurait connu l’existence.
On retrouve ce chiffre 7 sur La bête de couleur écarlate à « sept têtes » dans la bible, dans le livre de la Révélation (ou Apocalypse), chapitres 13 et 17, qui représentent « sept montagnes » et « sept rois », ou puissances dirigeantes du système politique mondial (Révélation 13:15).
Babylone la Grande, l’ensemble des fausses religions (la Bible parle d’elle comme d’« une femme » et d’une « grande prostituée »), est assise sur la bête de couleur écarlate (Voir Révélation, ou Apocalypse, chapitre 17).
La statue Américaine de New York repose sur un socle pyramidal à trois niveaux qui correspondrait au trois degrés maçonniques: apprenti, compagnon, maître.